Léa, célibataire, et son père Jacob ENRIQUEZ SARANO sont réfugiés au Pouliguen arrivant de Paris où ils résident au 20, rue des Envierges dans le 20ème arrondissement. Léa s’occupe de son père âgé et exerce la profession de vendeuse au 7, place de la République (Paris, 3ème arrondissement).
![Recensement 1936 Belleville [Archives de Paris, 2M8_695]](https://shoahpresquile.com/wp-content/uploads/2019/10/enriquezrecensement1936belleville2m8_695_0279.jpg?w=1024)
Ils résident au Pouliguen Villa Petit Courlis près du Bois du Pouliguen depuis au moins octobre 1939 jusqu’au 21 septembre 1940, date à laquelle ils rejoignent leur domicile parisien.
En octobre 1939, ils effectuent une demande de renouvellement de carte d’identité pour étrangers auprès de la mairie du Pouliguen, demande transmise à la Préfecture de Loire-Inférieure.


A priori, ni Jacob né le 14 juin 1859 à Smyrne, veuf, ni Léa, sa fille, née le 28 avril 1897 à Smyrne, célibataire n’ont été déportés.
Dossier d’étranger de Jacob ENRIQUEZ-SARANO [ADLA 4M935]




Dossier d’étranger de Léa ENRIQUEZ-SARANO [ADLA 4M935]

![Jacob ENRIQUEZ SARANO 1939 [ADLA 4M935]](https://shoahpresquile.com/wp-content/uploads/2019/10/enriquezjacob.jpg?w=379)
![Léa ENRIQUEZ-SARANO 1939 [ADLA 4M935]](https://shoahpresquile.com/wp-content/uploads/2019/10/03enriquezlc3a9adossetr4m935.jpg?w=868)